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Séries de photos aériennes obliques réalisées depuis 1970 par les services de l'état en charge du littoral. Une couche comprend une mission. Le lien sur les photos se fait par la colonne n_photo.
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Les eaux territoriales ou mer territoriale est la partie de mer côtière sur laquelle s'étend la souveraineté d'un État côtier. Sa largeur maximale est fixée à 12 milles marins (soit 22 224 mètres) par la Convention des Nations unies sur le droit de la mer, ou résulte d'un partage médian du littoral pour les États voisins dont les côtes sont distantes de moins de 24 milles. La couche contient un unique élément. Il s'agit d'une zone tampon de 12 milles de part et d'autre des côtes de la région Occitanie.
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La constellation de satellites Pléiades permet de disposer d'images combinant idéalement couverture large, haute résolution (50 cm) et importante fréquence de mise à jour : tout point du territoire national est survolé tous les trois à quatre jours, avec une résolution de 70 cm. L'IGN assure l'ortho-rectification des images, pour constituer des "orthos satellites". La vectorisation du trait de côte à partir d'images satellites du littoral de 2014 a été réalisée par le CEREMA pour le compte de la DREAL Occitanie. Le trait de côte correspond ici au milieu du jet de rive (*); un lissage a été opéré pour obtenir le tracé définitif. Les travaux effectués sur une zone test ont permis d'évaluer un niveau de précision fin, de l'ordre du mètre. (*) Le jet de rive correspond au filet d’eau montant sur l’estran instantané à la suite du dernier déferlement. Le jet de retour correspond au filet d’eau descendant (back-wash). Ces deux mouvements de montée et de descente définissent le swash, aussi appelé jet de rive.
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Les points repères sur la côte permettent de localiser les ouvrages et profils le long du littoral de la région. Ils sont notamment utiliser dans la construction des identifiants des profils smnlr.
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Séries de photos aériennes verticales du littoral réalisées lors de 19 missions de vol entre 1942 et 1998. Une couche comprend une mission. Le lien vers les photos se fait par la colonne n_chemin.
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Séries de photos aériennes obliques réalisées depuis 1970 par les services de l'état en charge du littoral. Une couche comprend une mission. Le lien sur les photos se fait par la colonne n_photo.
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La donnée est issue de la base de donnée sur les cordons littoraux produite par l'EID-Mediterranée en 2015 pour le compte de la Dreal Languedoc-Roussillon. L’ensemble les cordons dunaires y sont recensés et décrits. Les champs sont regroupés en quatre grandes catégories : situation générale, morphologie, écologie, contexte anthropique et vulnérabilité. pour chaque enregistrements, une fiche cordon est accessible par un lien sur le champs "n_fiche". Situation générale : Cette catégorie permet d’identifier les différents cordons (81 au total) et présente leur situation géographique (commune concernée, code Insee et limites justifiées). Les limites des cordons ont été fixées coté littoral, leur étendue en arrière du littoral n’étant pas représentative. Les limites identifiées correspondent soit à une coupure franche (embouchure, port, cap) soit à un changement de milieu, c’est-à-dire le passage brutal d’un milieu naturel à un milieu artificialisé, ou inversement. Il peut également s’agir du passage d’un cordon dunaire dégradé à un cordon dunaire restauré. Morphologie : épaisseur maximale du système plage-dune à + 2,4m NGF: Cette cote de 2,4 m NGF est celle prise en compte dans le guide de référence des PPR littoraux en Languedoc-Roussillon. Elle peut donner une indication sur la vulnérabilité du cordon. Plus cette portion est large, plus le cordon semblera être préservé du risque de submersion marine. Cependant elle doit être prise dans son contexte car pour de nombreux cas le cordon à 2,4 mètres NGF est large (50 mètres) mais pas plus élevé. Cela ne garantit pas une situation de cordon dunaire bien constitué avec tous les habitats naturels (et donc toutes les tranches d’altitudes) présents et en bon état. De plus dans certains cas ces zones larges peuvent correspondre à des zones de remblais sans dune ni forme morphologique réellement constituée. Une vérification de l’occupation du sol par photo-interprétation est donc indispensable. altitude crête de dune: Elle a été déterminée à partir des couches d’altitude issues du Litto3D. Il s’agit de rejoindre tous les points les plus hauts du cordon entre eux. Dans le cas d’un cordon naturel il est question de suivre la crête naturelle de la dune sans décaler le vecteur en arrière dune pour trouver des altitudes plus hautes. Cette méthode permet la détection de brèches ou discontinuités situées sur la place originelle de la crête de dune. types de cordons: Dans la base de données trois types de cordon ont été définis : naturel, semi-naturel ou artificiel. Pour catégoriser les cordons, des critères obligatoires ou optionnels sont à remplir : Cordons naturels Critères obligatoires : - Cordon littoral aménagé par des ouvrages de protection douce sur moins d’un tiers du linéaire - Pas d’urbanisation sur ou en arrière du cordon dunaire Critères optionnels : - Cordon littoral présentant au moins trois habitats dunaires successifs - Possibilité d’aménagements de canalisation traversant le cordon (ex : cordon 26 Les Coussoules) Cordons semi – naturels Critères obligatoires : - Urbanisation sur moins de la moitié du linéaire Critères optionnels : - Cordon littoral aménagé par des ouvrages de protection douce sur au moins un tiers du linéaire - Cordon littoral présentant au moins deux habitats dunaires successifs Cordons artificiels Critères obligatoires : - Urbanisation sur plus de la moitié du linéaire Critères optionnels : - Présence d’enrochements sur le cordon - Cordon littoral présentant des habitats dunaires discontinus et/ou dégradés Ecologie : les habitats dunaires: Parmi les habitats dunaires les plus courants rencontrés en Languedoc-Roussillon, nous avons choisi de sélectionner les habitats permanents. En effet, la végétation de haut de plage étant constituée d’espèces annuelles, elle n’est pas présente en hiver. - Dune embryonnaire La dune embryonnaire représente les premiers stades de construction de la dune, constituée par des rides ou des élévations de la surface sableuse de l’arrière plage. Cet habitat se développe au contact des laisses de mer sur un substrat sableux. Légèrement en arrière de la végétation de haut de plage des espèces pionnières vivaces permettent l’accumulation puis le maintien du sable grâce à leur système racinaire. Cette formation végétale ouverte est composée d’une seule strate à recouvrement faible. - Dune vive L’habitat dune vive est une végétation herbacée graminéenne ouverte, naturellement présente entre la dune embryonnaire et la dune fixée. Des plantes moins tolérantes à un taux élevé de sel vont pouvoir se développer, le recouvrement végétal augmente mais n’est jamais très élevé. L’oyat, principale édificatrice dunaire, en est l’espèce caractéristique. À ce stade, le substrat n’est toujours pas stabilisé et le sable continue à s’accumuler, l’association ainsi formée permet une élévation du cordon sableux allant parfois jusqu’à 10 m de hauteur et 20 m de large au maximum en Languedoc-Roussillon. - Dune fixée Cet habitat présente une seule strate, dominée par de petites espèces ligneuses. Il nécessite un substrat meuble de granulométrie variable, pouvant s’échauffer et devenir très sec en été. En arrière du cordon à l’abri de l’ensablement une végétation plus variée s’installe. Il est fréquent de rencontrer en dune fixée des dépressions humides, plus basses topographiquement que la dune et davantage alimentées en eau douce et saumâtre, et dont la végétation correspond à celle des prés salés méditerranéens. état de conservation écologique: L’état de conservation écologique des cordons dunaires a été divisé en 5 catégories : mauvais, faible, moyen, bon, ou aucun (si le cordon dunaire est inexistant). Cet indicateur prend en compte les critères suivants : - La représentativité du cordon dunaire (proportionnalité des habitats vis-à-vis de la largeur globale du cordon, continuité des peuplements végétaux,naturalité du site) - Le recouvrement végétal (Pour la dune vive, le recouvrement optimal est compris entre 50 et 70%, pour la dune fixée, ce recouvrement atteint les 70-90%) - La dynamique de la végétation (progressive, stable, regressive) - La présence excessive d’espèces exotiques envahissantes (certaines espèces s’établissent sur notre territoire et prolifèrent, aux dépends de nos espèces locales) Contexte anthropique et vulnérabilité : les accès et cheminements sauvages: Les accès à la plage, très présents sur les cordons artificiels ou semi-naturels, ont un rôle structurant sur le cordon. Un cordon littoral présentant une dune morcelée par de nombreux accès est à l’évidence plus fragile et vulnérable qu’un cordon dunaire bien entrenu et dont le franchissement est limité. les enjeux : Les enjeux considérés dans la base de données cordon sont uniquement les enjeux humains qu’il s’agisse d’hébergements (pérennes ou temporaires), d’activités ou d’infrastructures. Les installations temporaires telles que les concessions de plage ou les postes de secours ne sont pas considérés comme des enjeux. Ainsi pour déterminer la présence d’enjeux sur le cordon on matérialise une zone de 100m depuis le haut de plage. Si un enjeu, quelque soit la surface qu’il occupe sur le cordon, est présent sur cette zone, le cordon est considéré comme « à enjeux ».
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Séries de photos aériennes verticales du littoral réalisées lors de 19 missions de vol entre 1942 et 1998. Une couche comprend une mission. Le lien vers les photos se fait par la colonne n_chemin.
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Séries de photos aériennes obliques réalisées depuis 1970 par les services de l'état en charge du littoral. Une couche comprend une mission. Le lien sur les photos se fait par la colonne n_photo.
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