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  • Données patrimoniales (déterminantes Znieff et/ou protégées) mutualisées et validées par le pôle Flore/Fonge/Habitat du SINP en Midi-Pyrénées (hors données privées des adhérents au SINP Midi-Pyrénées en attente de leur adhésion au SINP Occitanie).

  • La présente compilation régionale a porté sur un nombre restreint de champs attributaires : - Code ZH - Type ZH : ZHE/MH - Code Corine Biotope - Libellé Corine Biotope - Habitat caractéristique de zone humide : oui-coté H / oui-pro parte-coté p / non - Pourcentage approximatif de représentativité (de chacun des habitats naturels constitutifs de la ZH) - Date d’observation - Nom observateur (et son organisme) - Commentaire

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    Inventaire, correspondant à la liste n°2e de l'arrêté préfectoral n°2012305-0002 du 17 décembre 2012. La présente cartographie est un document « indicatif », seul l'arrêté cité ci-dessus est opposable. Inventaire des cours d’eau constituant une zone de reproduction de la faune piscicole (conformément à la description de l'article 1 de l'arrêté préfectoral).

  • La présente compilation régionale a porté sur un nombre restreint de champs attributaires : - Code ZH - Type ZH : MH / ZHE - Code FVF (Flore Vasculaire de France, lien avec le site de l’INPN pour connaître notamment le statut de l’espèce) - Nom valide - Nom vernaculaire - Indicatrice de zone humide : oui / non - Date d’observation - Nom observateur (et son organisme) - Commentaire

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    Inventaire, correspondant aux trois listes de l'arrêté préfectoral n°2012305-0002 du 17 décembre 2012. La présente cartographie est un document « indicatif », seul l'arrêté cité ci-dessus est opposable. Inventaire des cours d’eau constituant une zone de reproduction de la faune piscicole (conformément à la description des trois listes de l'arrêté préfectoral).

  • Données espèce : Les Plans Nationaux d’Actions pour les espèces menacées constituent une des politiques mises en place par le Ministère en charge de l’Environnement pour essayer de stopper l’érosion de la biodiversité. Ils sont codifiés à l’article L.414-9 du code de l’environnement : « Des plans nationaux d'actions pour la conservation ou le rétablissement des espèces visées aux articles L. 411-1 et L. 411-2 ainsi que des espèces d'insectes pollinisateurs sont élaborés et, après consultation du public, mis en œuvre sur la base des données des instituts scientifiques compétents lorsque la situation biologique de ces espèces le justifie. Ces plans tiennent compte des exigences économiques, sociales et culturelles ainsi que des impératifs de la défense nationale. Les informations relatives aux actions prévues par les plans sont diffusées aux publics intéressés ; les informations prescrites leur sont également accessibles pendant toute la durée des plans, dans les secteurs géographiques pertinents. Un décret précise, en tant que de besoin, les modalités d'application du présent article » En France, il existe 2 sous-espèces, génétiquement et écologiquement bien différenciées, Tetrao urogallus aquitanicus dans les Pyrénées et Tetrao urogallus major dans les Vosges et le Jura. Le Grand tétras est le plus imposant des tétraonidés et celui qui présente le dimorphisme sexuel le plus marqué. Le mâle ou coq ne peut être confondu avec sa taille imposante, sa grande queue et son plumage sombre. La femelle ou poule par contre, se confond avec le milieu environnant grâce à son plumage dominé par le roux, chamarré de brun et de blanc. Le Grand Tétras est polygame, ils se regroupent au printemps sur des arènes ou places de chant traditionnelles qui drainent de 2 à 10 coqs (exceptionnellement jusqu’à 30). La poule après s’être accouplée avec le coq dominant, s'occupe seule de la couvaison (ponte au sol) et de l’élevage de la nichée qui se termine fin Août. Espèce emblématique des forêts de montagne, il occupe principalement les futaies résineuses de montagne allant jusqu’à 2400 m dans les Pyrénées. Les forêts occupées sont caractérisées par un recouvrement modéré de la futaie et des strates arbustives qui permet à de grandes plages herbacées ou d’éricacées de se développer. Ce sont typiquement de vieilles pessières, hêtraies-sapinières ou pineraies sylvestres ou à crochets poussant sur des sols pauvres. La sous-espèce pyrénéenne peut aussi occuper des milieux très peu forestiers (landes et prairies montagnardes et subalpines), particulièrement lors de la ponte et de l’élevage des jeunes. Données zonage : La déclinaison pyrénéenne de la Stratégie Nationale d’actions en faveur du Grand Tétras 2012-2021 prévoit notamment de cartographier les populations existantes et de prioriser les sites d’action. Le comité de pilotage pyrénéen et son groupe de travail « Connaissances » ont donc engagé, au cours de l’exercice 2014-2015, la réalisation des travaux de cartographie des populations de Grand Tétras dans les Pyrénées. La distribution spatiale actuelle des populations de Grand tétras pyrénéens (Zone 1) a rapidement été définie par stricte correspondance avec la « Zone de Présence Globale » proposée par l’Observatoire des Galliformes de Montagne (Zone 1 = ZPG OGM). La Zone 2 dite de « la répartition potentielle des populations de Grand Tétras à l’horizon 2055 » devait quant à elle engager un travail méthodologique innovant. Cette carte a été obtenue selon les étapes suivantes : -départ avec la couche « Végétation » de la BD TOPO 2010 produite par l’IGN, -ajout d’une bande tampon de 100 m à cette couche « Végétation », afin de prendre en compte la progression théorique de la lisière supra-forestière au cours des 40 prochaines années, -découpage cartographique de cette nouvelle couche Végétation « gonflée » de 100m par la couche des « Unités Naturelles » (UN) du Grand tétras dans les Pyrénées, produite par l’Observatoire des Galliformes de Montagne, -correction ponctuelle de cette couche obtenue dite « Zone 2 primaire » par superposition avec la couche « Zone 1 » et intégration le cas échéant de nouveaux secteurs, -obtention de la Zone 2.

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    Hydromorphie des sols - Code ZH - MH/ZHE - Libellé - Date observation - Nom observateur (et son organisme) - Commentaire

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    L’instruction ministérielle du 3 juin 2015 vise l’établissement d’une cartographie des cours d’eau. Il s'agit de définir les parties du réseau hydrographique qui doivent être considérées comme cours d’eau au titre de la police de l’eau, c’est-à-dire les cours d'eau sur lesquels s’applique la réglementation issue des articles L.214-1 à L.214-11 du code de l’environnement. La cartographie identifie les tronçons de cours d'eau validés et ceux qui restent à définir (indéterminés) sur la base de propositions remontées par les membres d'un comité de pilotage et d'expertises de terrain systématiques. Cette cartographie n'étant pas exhaustive, elle fera l’objet de mises à jour régulières. Cette cartographie est le fruit d'un travail partenarial entre les services de l'Etat, les collectivités, la profession agricole et la fédération départementale de pêche. Il s'agit d'un cadre commun non opposable. Données actualisées au 28/07/2023

  • La présente compilation régionale a porté sur un nombre restreint de champs attributaires : - Code ZH - Type ZH : MH / ZHE - Libellé critère délimitation - Commentaire

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    Les Plans Nationaux d’Actions pour les espèces menacées constituent une des politiques mises en place par le Ministère en charge de l’Environnement pour essayer de stopper l’érosion de la biodiversité. Ils sont codifiés à l’article L.414-9 du code de l’environnement : « Des plans nationaux d'actions pour la conservation ou le rétablissement des espèces visées aux articles L. 411-1 et L. 411-2 ainsi que des espèces d'insectes pollinisateurs sont élaborés et, après consultation du public, mis en œuvre sur la base des données des instituts scientifiques compétents lorsque la situation biologique de ces espèces le justifie. Ces plans tiennent compte des exigences économiques, sociales et culturelles ainsi que des impératifs de la défense nationale. Les informations relatives aux actions prévues par les plans sont diffusées aux publics intéressés ; les informations prescrites leur sont également accessibles pendant toute la durée des plans, dans les secteurs géographiques pertinents. Un décret précise, en tant que de besoin, les modalités d'application du présent article » En France, il existe 2 sous-espèces, génétiquement et écologiquement bien différenciées, Tetrao urogallus aquitanicus dans les Pyrénées et Tetrao urogallus major dans les Vosges et le Jura. Le Grand tétras est le plus imposant des tétraonidés et celui qui présente le dimorphisme sexuel le plus marqué. Le mâle ou coq ne peut être confondu avec sa taille imposante, sa grande queue et son plumage sombre. La femelle ou poule par contre, se confond avec le milieu environnant grâce à son plumage dominé par le roux, chamarré de brun et de blanc. Le Grand Tétras est polygame, ils se regroupent au printemps sur des arènes ou places de chant traditionnelles qui drainent de 2 à 10 coqs (exceptionnellement jusqu’à 30). La poule après s’être accouplée avec le coq dominant, s'occupe seule de la couvaison (ponte au sol) et de l’élevage de la nichée qui se termine fin Août. Espèce emblématique des forêts de montagne, il occupe principalement les futaies résineuses de montagne allant jusqu’à 2400 m dans les Pyrénées. Les forêts occupées sont caractérisées par un recouvrement modéré de la futaie et des strates arbustives qui permet à de grandes plages herbacées ou d’éricacées de se développer. Ce sont typiquement de vieilles pessières, hêtraies-sapinières ou pineraies sylvestres ou à crochets poussant sur des sols pauvres. La sous-espèce pyrénéenne peut aussi occuper des milieux très peu forestiers (landes et prairies montagnardes et subalpines), particulièrement lors de la ponte et de l’élevage des jeunes. Très exigeant sur la qualité de son habitat, le Grand tétras utilise, selon les saisons, des sites qui répondent à ses besoins vitaux du moment et aux traditions comportementales de la population locale (sites d’hivernage, de parade, de reproduction). Il est très important de connaître ces « sites vitaux » afin de les conserver, de les améliorer et d’y pratiquer les divers comptages pour le suivi des populations. Pour cela, l’Observatoire des Galliformes de Montagne et ses partenaires (ONCFS, ONF, FDC, Parcs et réserves, associations) réalisent une cartographie à dire d’expert de l’aire de présence globale du grand tétras et de ces sites vitaux sur l’ensemble des Pyrénées. Mise jour tous les 5 ou 10 ans, elle est constituée de 4 couches d’informations une couche « présence globale » qui englobe toutes les zones utilisées par l’espèce au cours de son cycle annuel. Cette couche est publique. 3 couches précisant les sites vitaux : i) les zones de nichées et d’élevage des jeunes, ii) zones d’hivernage, iii) les places de chant. Ces couches, du fait de la sensibilité des données, ne sont pas fournies ici, mais peuvent être demandées à l’Observatoire des Galliformes de Montagne. A noter que l’absence de données ne signifie pas l’absence de l’espèce. En effet, il est impossible de faire la différence entre une absence de données liée à l’absence de prospection (ou de remontée de données) et une absence de données liée à une véritable absence de l’espèce.