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    Ensemble de couches de données géologiques vecteurs (Ensembles_lithotecto, Incision_Messinienne, StructLR_250_Majeur, Canyon_Messinien, Forages_offshores, LRM_LR, sedvol, stcont) et de données géographiques vecteurs ou rasters (REG_LR-2006, Tamp_LR, BathyGolfeLion_NTF, Tamp_PF et MNTOMBR). Ces couches composent la carte des grands ensembles litho-tectoniques de la région Languedoc-Roussillon et du Golfe du Lion. Elle a été réalisée en complément du projet inventaire du patrimoine géologique régional. Ce projet s’inscrit dans le cadre de l’inventaire national du patrimoine naturel. Elle présente les 126 ensembles litho-tectoniques du niveau le plus détaillé. Le niveau inférieur, structuralement et sédimentologiquement plus simplifié, contient 35 unités, elles-mêmes réparties dans 20 grands ensembles (carte hiérarchiquement encore simplifiée). Dans le domaine continental, ces ensembles sont cartographiés sur un fond MNT (50 m). Ils représentent des ensembles homogènes du point de vue sédimentologique, tectonique et géomorphologique. Ces ensembles sont délimités soit par des éléments structuraux (faille, décrochement) liés à la tectonique, soit par des limites géologiques (lithologie, âge) liées à la sédimentologie et la stratigraphie, soit par des incisions (gorges, vallées) liées à la géomorphologie. La limite de l’incision messinienne est représentée par un trait orange plein (limite observée) ou pointillé (limite supposée). Dans le domaine marin, les ensembles litho-tectoniques sont au nombre de trois et sont seulement définis du point de vue morphologique (golfe d’Aigues-Mortes, plateau continental et talus continental). Ils sont présentés sur un fond bathymétrique et géologique (1/1 000 000). Les canyons messiniens, cartographiés à l’aide des profils sismiques et des données de forages, ont été notés en pointillés orange sur la carte. Cette carte a pour but de fournir une base de données cohérente sur la mosaïque structurale du Languedoc-Roussillon et un langage commun pour nommer les objets géologiques par les professionnels. Il est important de noter que cette carte est évolutive et en construction. Elle a été réalisée pour les besoins de l’étude, par l’usage de polygones choisis, d’origine diverse (cartes géologiques 1/250 000, 1/1 000 000, …).

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    découpage du département du Gard en bassins forestiers pour la défense de la forêt contre les incendies

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    La BD OCSGE est une base de données vectorielle pour la description de l’occupation du sol de l’ensemble du territoire métropolitain et des départements d’outre-mer. Elle est un référentiel national, constituant un socle, utilisable au niveau national et au niveau local. Elle contribue aux calculs d’indicateurs demandés par les documents d’urbanisme (PLU, SCoT). Elle est également compatible (tant que faire se peut) avec les couches d’occupation du sol existantes. Elle s’appuie sur un modèle ouvert séparant la couverture du sol et l’usage du sol (appelé modèle en 2 dimensions) avec une précision appuyée sur le Référentiel à grande échelle (RGE®) et une cohérence temporelle (notion de millésime) permettant les mises à jour pour suivre les évolutions de la consommation des espaces. La BD OCSGE est constituée par zones administratives (ensemble de communes, département ou région) tout en assurant au niveau national la continuité géographique et thématique. A terme, elle représentera une partition continue du territoire. Sa production s’appuie sur les données existantes extraites des bases internes de l’IGN ainsi que toutes autres données mobilisables issues de référentiels nationaux ou locaux (Registre parcellaire graphique, OCS régionales, etc.). La BD OCSGE s’appuie sur la nomenclature nationale préconisée par le Conseil national de l’information géographique (CNIG), élaborée par le Centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement (CEREMA), sous le pilotage du ministère chargé de l’écologie, du développement durable et de l’énergie (MEDDE.DGALN). La BD OCSGE respecte les préconisations nationales de production qui accompagnent la nomenclature nationale. Elle s’appuie sur une couche de données intermédiaire, le référentiel national des réseaux principaux constituant « l’Ossature nationale ». Elle a quatre fonctions principales: - assurer une continuité géographique entre territoires; - assurer une géométrie de référence; - partitionner les territoires de façon homogène; - assurer une cohésion spatiale entre échelles du territoire.

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    Trois prises de vues spécifiques sont disponibles partiellement dans le cadre de la gestion de crise, suite aux phénomènes de crues ayant provoqué des inondations : * en octobre 2012, sur Lourdes * en juin 2013, le long du Gave de Pau, et du Bastan.

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    découpage du département du Gard en bassins forestiers pour la défense de la forêt contre les incendies

  • Base de données de référence de l'occupation des sols du département de l'Aude, réalisée par traitement d'orthophotos de 2015, de données existantes extraites des bases de données de l’IGN, et de toutes autres données mobilisables issues de référentiels nationaux ou locaux. Elle est basé sur la nomenclature nationale préconisée par le conseil national de l’information géographique (CNIG) décrivant l'occupation du sol en 2 dimensions : couverture et usage.

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    En France, en application de l'article L. 113-1 [archive] du Code de l'urbanisme, les plans locaux d'urbanisme (PLU) peuvent classer les bois, forêts, parcs, arbres isolés, haies et plantations d'alignement comme espaces boisés à conserver, à protéger ou à créer (EBC). Un espace peut donc être classé de manière à le protéger avant même qu'il ne soit boisé et favoriser ainsi les plantations sylvicoles. Données à jour au 07/03/2024

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    La constitution d’une tache urbaine donne une image de l’emprise urbaine à un moment donné. Les fichiers fonciers permettent de reconstituer une tache urbaine à partir des parcelles bâties selon la date de construction des locaux. On peut ainsi retracer par périodes la progression de l’urbanisation au sein d’un territoire. En particulier on peut mesurer : - la surface des taches urbaines par commune à différentes dates retenues. - le taux d’évolution de ces surfaces par commune. a – Surfaces considérées : La cartographie de l’étalement urbain est réalisée à partir de la table des propriétés non bâties des fichiers fonciers 2016 qui contient les superficies artificialisées de la parcelle. (les fichiers fonciers 2016 renseignent les constructions jusqu’en 2015). b – Champ d’observation : La méthode retient l’ensemble des parcelles bâties. c – Période d’observation : La date de référence pour l’urbanisation est calculée à partir de l’année de construction du local le plus ancien. Les parcelles possédant un local et ne précisant pas la date de construction sont conservées et font donc partie des parcelles bâties à la tache urbaine de référence. Pour toute la région Occitanie, le calcul de la surface urbanisée a été conduit en 2005 et 2015, d – Méthode d’élaboration de la tache urbaine : A partir des localisants des parcelles bâties, des disques correspondants à la surface artificialisée ont été construits à l’aide d’un outil SIG (Qgis, MapInfo). Un rayon maximal de 70 mètres est appliqué pour ne pas retenir les très grandes parcelles pouvant majorer le résultat. Pour les parcelles manifestement sous-estimées, un rayon minimal R = 20 mètres est appliqué. L’artificialisation minimale d’une parcelle est de 1 256 m². Il est procédé à une dilatation de 30 mètres. Après union, il est procédé à une érosion de 30 mètres. Cette dilatation/érosion permet de définir les zones d’influence urbaine en prenant notamment en compte les voiries à l’intérieur des taches. e – Résultats de la méthode : Les taches urbaines obtenues sont découpées suivant les limites communales pour en obtenir un tableau de synthèse à la maille communale permettant des agrégations à toutes les échelles de la planification.

  • Géologie harmonisée à 1/50 000 - Formations géologiques en ex Midi-Pyrénées Infos et téléchargement sur : https://catalogue.picto-occitanie.fr/accueil/thematiques/geologie_harmonisee

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    La constitution d’une tache urbaine donne une image de l’emprise urbaine à un moment donné. Les fichiers fonciers permettent de reconstituer une tache urbaine à partir des parcelles bâties selon la date de construction des locaux. On peut ainsi retracer par périodes la progression de l’urbanisation au sein d’un territoire. En particulier on peut mesurer : - la surface des taches urbaines par commune à différentes dates retenues. - le taux d’évolution de ces surfaces par commune. a – Surfaces considérées : La cartographie de l’étalement urbain est réalisée à partir de la table des propriétés non bâties des fichiers fonciers 2016 qui contient les superficies artificialisées de la parcelle. (les fichiers fonciers 2016 renseignent les constructions jusqu’en 2015). b – Champ d’observation : La méthode retient l’ensemble des parcelles bâties. c – Période d’observation : La date de référence pour l’urbanisation est calculée à partir de l’année de construction du local le plus ancien. Les parcelles possédant un local et ne précisant pas la date de construction sont conservées et font donc partie des parcelles bâties à la tache urbaine de référence. Pour toute la région Occitanie, le calcul de la surface urbanisée a été conduit en 2005 et 2015, d – Méthode d’élaboration de la tache urbaine : A partir des localisants des parcelles bâties, des disques correspondants à la surface artificialisée ont été construits à l’aide d’un outil SIG (Qgis, MapInfo). Un rayon maximal de 70 mètres est appliqué pour ne pas retenir les très grandes parcelles pouvant majorer le résultat. Pour les parcelles manifestement sous-estimées, un rayon minimal R = 20 mètres est appliqué. L’artificialisation minimale d’une parcelle est de 1 256 m². Il est procédé à une dilatation de 30 mètres. Après union, il est procédé à une érosion de 30 mètres. Cette dilatation/érosion permet de définir les zones d’influence urbaine en prenant notamment en compte les voiries à l’intérieur des taches. e – Résultats de la méthode : Les taches urbaines obtenues sont découpées suivant les limites communales pour en obtenir un tableau de synthèse à la maille communale permettant des agrégations à toutes les échelles de la planification.