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  • Portail cartographique permettant de faciliter la gestion de crise - en cours de développement

  • <a href="http://cartostat.atlasante.fr" > <b> Cartostat, parcours AVC </b> </a> Cette cartographie géo-statistique interactive est un service qui a pour objectif de comprendre et d’optimiser le parcours des patients victimes d’AVC. Ce service permet l’édition de cartes, de rapports de territoire à différentes échelles et de tableaux de données avec des indicateurs d’incidence, d’offre, d’accessibilité et d’activité hospitalière (2013 à 2015). Un groupe de travail national réunissant des experts en ARS et des animateurs de filière AVC en établissements reconnus dans le domaine se sont réunis pour spécifier les indicateurs géographiques pertinents pour aider à la prise de décision en matière d'AVC. Il a réunis la Direction Générale de l’Offre de Soins (Ministère de la santé, DGOS), des personnes de l’ARS Ile-de-France, ARS Auvergne-Rhône-Alpes et ARS Occitanie. Des formations utilisateurs ont eu lieu de décembre 2016 à janvier 2017 et d’autres auront certainement lieu fin 2017 ou début 2018 pour présenter les compléments de données en cours (données de prévalence, prise en charge en Soins de suite réadaptation, flux MCO-SSR, etc.)

  • Zone d'inondation de Fontainebleau détaillée - Situation au 2 juin à 17h39

  • Carte destinée à la campagne ambroisie 2017

  • Le radon est un gaz radioactif produit par la désintégration naturelle de l’uranium présent dans les roches. Cancérigène pulmonaire, il peut présenter un risque pour la santé lorsqu’il s’accumule dans les bâtiments. La connaissance des caractéristiques des formations géologiques sur le territoire permet d’identifier les zones sur lesquelles la présence de radon à des concentrations élevées dans les bâtiments est la plus probable. Ce travail, réalisé par l’IRSN à la demande de l'Autorité de Sûreté Nucléaire, a permis d’établir une cartographie du potentiel radon couvrant l’ensemble du territoire métropolitain. Cette cartographie conduit à classer les communes en 3 catégories : Les communes à potentiel moyen ou élevé : Ce sont celles localisées sur les formations géologiques présentant des teneurs en uranium les plus élevées. Les formations concernées sont notamment celles constitutives des grands massifs granitiques français (massif armoricain, massif central…) mais également certains grés et schistes noirs. Dans les communes à potentiel radon moyen ou élevé, la proportion des bâtiments présentant des concentrations en radon élevées est plus importante que dans le reste du territoire. Les résultats de la campagne nationale de mesure montrent ainsi que plus de 40% des bâtiments de ces communes dépassent 100 Bq.m-3 et plus de 6% dépassent 400 Bq.m-3. Les communes à potentiel faible : Ce sont celles localisées sur les formations géologiques présentant les teneurs en uranium les plus faibles. Ces formations correspondent notamment aux formations calcaires, sableuses et argileuses constitutives des grands bassins sédimentaires (bassin parisien, bassin aquitain). Dans les communes concernées, une grande majorité de bâtiments présente des concentrations en radon faibles. Les résultats de la campagne nationale de mesure montrent ainsi que seulement 20% des bâtiments dépassent 100 Bq.m-3 et moins de 2% dépassent 400 Bq.m-3. Les communes à potentiel faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments : Les communes concernées sont notamment celles recoupées par des failles importantes ou dont le sous-sol abrite des ouvrages miniers souterrains... Ces conditions géologiques particulières peuvent localement faciliter le transport du radon depuis la roche jusqu'à la surface du sol et ainsi augmenter la probabilité de concentrations élevées dans les bâtiments. Pour en savoir plus : www.irsn.fr/carte-radon

  • Carte destinée à la campagne ambroisie 2017

  • Etablissements Finess ouverts de métropole, avec le code catégorie d'activité 627, 628 et 629

  • Appartenance des communes à un CLS. Le Contrat Local de Santé (CLS) n’est pas un dispositif mais un outil proposé par la loi HPST, qui articule les dispositifs avec leurs leviers financiers propres. Le CLS est signé entre la commune ou l’EPCI concerné, l’Agence Régionale de Santé et la préfecture de région concernée. Peuvent également être signataires selon les cas l’assurance maladie, l’éducation nationale, des associations, etc. Le CLS définit les fonctions de chacun dans le domaine de la santé sur le territoire concerné, il a donc pour objectifs de ; -Renforcer la cohérence intersectorielle et inter dispositifs des actions de santé en mutualisant les moyens (principe de transversalité et de cohésion) ; -Valoriser les actions existantes ; -Etre souple et adaptable au territoire, en répondant aux besoins de proximité (principe de territorialisation) -S’appliquer à des zones prioritaires pour agir essentiellement sur la promotion de la santé, la santé mentale et l’accès aux soins (principe d’agir sur la santé par l’angle des inégalités sociales)

  • Pour les DOM il n’y a que le niveau D (département), pour les autres régions il y a au moins les niveaux D et C (territoires de santé du PRS I), et pour Normandie, Grand Est, Pays de la Loire, Bretagne, Nouvelle-Aquitaine, Auvergne-Rhône-Alpes, il y a les 4 niveaux. Attention aux totaux par année, par région et par niveau, il peut y avoir des écarts entre les niveaux pour chaque région. Le plus souvent c’est à la marge, mais pour Normandie, Grand Est, Nouvelle-Aquitaine c’est plus important (seuls les niveaux D et C donnent le même total régional) du fait que certains regroupements maison fournis par l’ARS n’ont pas été « projetés » par l’INSEE, en raison des contraintes du modèle de projection Omphale 2017.

  • Correspondance des communes avec les Contrats Locaux de Services. Toutes les communes ne sont pas concernées. Ce fichier est de couverture "inter-régionale" car il est destinée à être co-rempli par les diverses régions et peut alors contenir des manques.