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Hydrographie

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    Emprise d'un plan d'eau douce Les plans d'eau désignent une étendue d'eau douce continentale de surface, libre stagnante, d'origine naturelle ou anthropique, de profondeur variable. Le terme plan d'eau recouvre un certain nombre de situations communément appelée lac, retenue, étang. Les plans d'eau sont décrits par leur(s) usage(s) selon une typologie des usages prédéfinie. 1)Nomenclature des types d'usage du plan d'eau : A : stockage pour irrigation / B : stockage pour AEP / C : stockage pour production d'énergie / D : stockage pour navigation / E : écrêtement des crues / F : soutien d'étiage (vie piscicole) / G : stockage pour production de neige de culture /H : pisciculture avec nourrissage régulier et production de plus de 20T /an /I : pisciculture sans nourrissage régulier ou avec une production inférieure à 20T /an * L'énumération ci-dessus des usages possibles n'est pas exhaustive.

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    Afin de mieux faire connaître les parties du réseau hydrographique qui doivent être considérées comme des cours d’eau (CE) relevant de l'application de police de l'eau, l'instruction du Gouvernement du 3 juin 2015 a demandé aux services établir une cartographie complète dans les zones où cela est techniquement faisable dans des délais raisonnables et dans les autres zones, de préciser la méthodologie d’identification des cours d’eau. ## L'attribut TYPE_ECOUL indique comment considérer le tronçon légalement : -- légalement un cours d’eau pour les valeurs : 'CE' et 'CE-buse' -- 'nonCE' : tronçon hydrographique qui n'a pas le statut légale de cours d'eau -- 'inexistant' : n'existe pas sur le terrain, erreur de la BDTOPO -- 'indetermine' : pas encore expertisé ## Processus de détermination du type de CE (attribut TYPE_ECOUL ) La manière de le déterminer est indiquée dans le champ "NAT_IDENT" : - "analyse" : premier "tri" sur analyse cartographique réalisée en 2015. - "cpc" : Certains tronçons ont fait l'objet d'une analyse plus poussée sur analyse de photos aériennes par exemple. - "terrain" : classements suite à visite de terrain réalisée par la DDT (suite à contestation de classement) - "CCE" : classements suite à réunion de la commission cours d'eau sur le terrain (suite à contestation de classement et difficulté d'arbitrage au niveau de la DDT) Base réglementaire = L215-7 du code de l'environnement. Un arrêté préfectoral devrait suivre (demande du directeur).

  • Compilation des Zones Humides identifiées par des inventaires réalisés en Adour Garonne avant 2007. Ces données sont issues d’inventaires réalisés avant l’arrêté du 24 juin 2008 précisant les critères de définition et de délimitation des zones humides. Les méthodologies utilisées sont hétérogènes et ne répondent pas clairement aux critères d’identification (présence de végétation hygrophile et /ou de sols caractéristiques des milieux humides vérifiée sur le terrain) ; ces données sont donc envisagées comme des « milieux humides probables » et non comme « milieux humides effectifs », d’après la terminologie adoptée par le Sandre en 2018 (Dictionnaire de données : Acquisition des données de pré-localisation, d’inventaire et de suivi sur le Milieu Humide, version 1, 2018, Sandre).

  • Les zones à dominantes humides correspondent à des grands ensembles homogènes de territoire à forte probabilité de présence théorique de zones humides. Leur délimitation résulte d’une étude réalisée en 2011 et basée sur des traitements d’analyse spatiale multicritère (indices de pentes et forme du relief, climatologie, nature du substrat géologique, indice de remontées de nappes, densité du réseau hydrographique) et sur le calcul d’indicateurs. Il ne s’agit pas d'un inventaire des zones humides réelles (ou effectives), ni d'une détection de l'occupation du sol par techniques d'observations spatiale. Cette analyse a identifié dix-sept zones de niveau 1 et soixante-deux zones de niveau 2 (le niveau 2 correspond à une subdivision géographique du niveau 1). Elle a permis, à l’échelle du bassin Adour Garonne : - De réaliser un état initial théorique - D’avoir une vision homogène de la répartition des milieux à dominante humide sur le bassin - De mettre en cohérence les enjeux de préservation au regard de la thématique « eau » et de leurs fonctionnalités - De définir un lot de données de référence permettant à l’avenir d’agréger des informations liées aux politiques publiques (indicateurs financiers d’aides par exemple).

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    Couche expérimentale sur le risque d'érosion hydrique zone forte

  • Pour chaque système d’assainissement, données mensuelles ou annuelles portant sur différents indicateurs mesurés, calculés ou estimés depuis l'année d'exploitation 2000.

  • Archives des données qualité des lacs du bassin Adour-Garonne La qualité de l'eau des principaux lacs du bassin Adour-Garonne est régulièrement mesurée dans le cadre de réseaux. Ce dispositif de mesure est basé sur : - Des prélèvements et des analyses physico-chimiques d’eau et de sédiment, - Des mesures biologiques (macrophytes, oligochètes, phytoplancton, poissons), - Des mesures hydromorphologiques (bathymétries, Lake Habitat Survey).

  • Lors de l’élaboration du plan d’adaptation au changement climatique (2016-2018), la vulnérabilité au changement climatique a été évaluée sur le bassin Adour-Garonne selon 5 indicateurs principaux qui sont autant d’enjeux majeurs pour la gestion de l’eau : - la disponibilité en eau superficielle - la disponibilité en eau souterraine - le risque de sécheresse du sol - le risque de dégradation de la qualité des eaux - la fragilisation des milieux aquatiques et de la biodiversité Pour chaque enjeu, l’évaluation de la vulnérabilité passe par : - la sélection des variables hydroclimatiques du futur comme la variation de température ; - la définition des caractéristiques actuelles des territoires qui les rendent plus ou moins fragiles quant à leur exposition aux impacts du changement climatique. Au final, après traitement de 14 projections hydroclimatiques, deux classes de vulnérabilité ont été retenues. - les secteurs à vulnérabilité modérée nécessitant des mesures d’adaptation génériques, flexibles et réversibles - les secteurs plus vulnérables nécessitant des actions d’adaptation fortes et structurantes

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    zone de risque d'érosion moyen couche expérimentale

  • Prélèvements effectués dans le milieu naturel pour les usages domestiques, agricoles ou industriels